"Visite médicale de début d'année" ou "l'infirmier qui se prenait pour un SM dans l'imaginaire de Zoé" (with William S.)

Citation :: Bonjours,

J'ai peut avoir axer au dossier des élèves et j'ai put constater que vous étiez une âme Incorporelle. J'aimerais que vous passiez a l'infirmier.
Je sais que cela parais un peut absurde mais je vous expliquerais.

Merci de votre compréhension.
William Som'brecombe.
Infirmier.

Convoquée à l'infirmerie, moi ? Ça y est, on m'avait pris pour une névrosée?
Non, c'était simplement parce que j'étais une sans corps... Fallait que je m'y attende un peu d'un côté. Je n'était pas venue dans cette institut pour une colonie de vacances... Je n'étais qu'une sorte d'animal étrange que ces gens allaient observer, étudier, disséquer, rescotcher, lobotomiser...
Que de pensées agréable sur le chemin de l'infirmerie !
Ça y est, je détestai ce William sombre crétin (Pour rester polie) ! Je l'imaginai déjà vêtu en prêtre SM avec un long couteau de boucherie pour m'accueillir...
Je ne l'aimais pas mais lui avais intérêt à m'apprécier ! Comme tout le monde d'ailleurs...
J'imaginai très bien que ce sombre con (ça y est je l'ai dit) était tout sauf une âme-liée. J'avais donc beaucoup de chance de lui échapper s'il magnait réellement un couteau de boucher.
J'arrivai devant la porte de l'infirmerie et glissa un œil par le trou de la serrure. Une personne se tenait de dos (surement entrain de ranger quelques bricoles). Elle avait les cheveux long très foncés.
Je m'écarta rapidement de la porte.

*Une fille ? Surement sa secrétaire... *

Je resta une bonne minute à me poser des questions puis me décida à rentrer.
J'ouvris la porte sans frapper et débita :

"Bonjour, enchantée, j'ai été convoquée par un certain William, à l'infirmerie. Pourriez- vous m'annoncer s'il vous plait"

Je me tenais droite presque au garde à vous. Une posture provocante selon moi.

1 Heure auparavant :

J'entrais dans la grande infirmerie pour la première fois. C'était bien plus grand que je ne l'imaginais. Une dizaine de lits étais aligner contre les murs derrière deux grands paravent en papier de riz. Avant il y avais un bureau avec deux chaise d'un coter et un fauteuil, plutôt confortable, de l'autre. Des étagère remplie de trilleur et de classeur encore vide étais aligner contre le murs. Il y avais aussi un lit de consultation relativement sophistiquer.
La pièce étais très bien éclairer, la lumière naturelle entrais par de grandes fenêtre qui tapissais les murs latéraux. C'était un endroit plutôt agréable si on occultais le blanc sur les murs, il allait falloir faire quelque choses c'était trop triste.

Je passais une bonne demi heure a ranger mes affaires, document plus ou moins ressent, quelque ustensile d'osculation, deux photo, une de me famille et une des mes potes de promo. Sinon la pièce étais prête a l'utilisassions tout était là c'était incroyablement bien équiper.
Je n'avais pas enfiler la fameuse blouse blanche des médecin je trouve ça trop ... triste comme habit. J'étais habiller, comme a mon habitude, d'une chemise blanche et d'un pantalon sombre large en taille basse.

Une vois ma fis sursauter je me retournais rapidement. J'essayais de vaincre ce qui me restais de ma timidité, aller Will tu est maître des lieu un peut de courage.
C'était une jeune fille de environs 15 ans d'apparence. Sûrement une des filles a qui j'avais demander de venir.

"Bonjour, enchantée, j'ai été convoquée par un certain William, à l'infirmerie. Pourriez- vous m'annoncer s'il vous plait"

J'eu un sourire accueillant et amical.

_ Je suis William, merci d'être venus si vite.

Une truc me chiffonnas, pourquoi avais t'elle dit "pouvez vous m'annoncer" ? Elle pensais que j'étais le secrétaire ? Sûrement ...

La jeune fille sursauta et se retourna presque aussitôt. Elle était surement surprise de me voir débarquer comme ça. Elle me regarda rapidement puis répondit.

_ Je suis William, merci d'être venus si vite.

Ah ?! Oups... C'est vrai qu'une fois retourné il n'avait plus rien l'air d'une jeune fille. Il n'avait pas non plus de couteau de boucherie et n'avait pas l'air SM... Quoique pour cette dernière estimation, rien n'étais sûr. Il n'avait pourtant pas l'air extrêmement sûr de lui : L'image que je me faisait habituellement des SM. Ses yeux étaient loin d'être des yeux de vicieux. Il avait des yeux bleus assez fascinants qui tranchaient étrangement avec son visage et ses cheveux foncés...

Je pris un air de je-m'en-foutiste tout en continuant à le fixer dans les yeux.

"Zoé. Y a pas de quoi."

Il avait l'air d'avoir le même âge que moi à peu de choses près, voir plus jeune.
Il ne semblait pas outré que je sois entrée sans frapper. Cette non-réaction me donna envie de voir jusqu'où allaient ses limites. J'avais envie de l'embêter.
Je m'assit à une chaise devant son bureau et me mit à m'observer les ongles des mains et à me les curer. Allait-il se mettre en colère ? Ne rien dire, bafouiller, être déconcerté ? Faire comme s'il n'avait rien vu et que tout se passait pour le mieux dans le meilleur des mondes ?

Elle me fixait dans les yeux, c'était une habitude que j'avais moi aussi mais je devais avouer que c'était peut courent que les gens en face de même. J'étais un peut étonner, sans le monter, de voir que je n’étais pas le seul à avoir cette manie. Manie que m'avais inculqué ma mère, encore un reste de mon éducation bourgeoise, j'avais du mal a me défaire de tout ce que mes parent m'avais appris, mais certaine habitude restais. Cela faisais pour temps 4 ans que je les avais pas vus mais toute mes habitude de bourge n'étais pas partie. Beaucoup de gens disais que ça se voyais dans ma façon de m'exprimer a certaine occasion. Ma fois ce n'étais pas non plus une tare, c'était mieux que de traîner des mauvaises manières. Vous penser pas ?

"Zoé. Y a pas de quoi."

Ca vois me sortie de mes rêveries. Comme d'habitude je m'étais laisser aller a penser, mais heureusement avec le temps j'avais appris a cacher mes absences assez aisément. Ici il m’avait suffit de la suivre du regarde lorsqu'elle s'assit sur le siège devant mon bureau. Mon ?! Cela me faisait bizarre de dire ça ... mais fallait que je mit face.
Déjà elle c'était assis sans demander la permission, bon ça c'était habituelle, mais elle ce mit a ce curer les ongles ... heuuu bon d'acore. Habituellement quand on est convoquer a l'infirmerie on demande pourquoi on ce cure pas les ongles d'un air si détacher.
Bon fallait ce rendre a l'évidence elle le faisait exprès. Pourquoi ? Si le but étais de m'énerver elle n’était pas rendu. Elle allait s'énerver bien avant moi. On me reproche bien souvent mon conté mou et flegmatique, alors elle pouvait bien faire ce qui l'amusais, je n’allais pas m'énerver de si tôt.

Bref revenons a une sujet sérieux. Il fallait peut être que je lui explique la raison de ça venus ici. Parce qu'il faut avouer qu'un Incorporel ici c'était plutôt inhabituelle et même incongru vus qu'il n’avait pas de corps. Je m'assis alors dans mon fauteuille, en essayant de pas m'affaler dedans comme j'en avais l'habitude ça ferais pas très sérieux. Je la regardais dans les yeux pour lui parler.

_ Alors si tu es la c'est pour que je te pause quelque question. Je ne suis pas seulement infirmier a la base je suis scientifique et mon but est de comprendre les dysfonctionnements qu’ils peuvent rencontrer les Als âpres leurs transformassions. Et bien sur de les réglés. C’est dans ce but que je suis moi même devenus une Als il y a de ça un peut plus d'un ans.

Je marquais une pause dans mon monologue pour, du part qu'elle puisse me pauser des questions si besoin et de deux clore la partie présentation.

_ Les Als sans corps son pour moi les plus compliquer car il peut arriver que des dysfonctionnements proviennes lord de la modification génétique. Dans ces cas là il est bien malheureusement très dur de résoudre le problème car on peut de marge de manœuvre ou d’agissent possible sur l’âme. C’est pour cela que plus c’est prit tôt plus il est simple d’y remédier, même si dans ton cas tu es Al depuis déjà assez longtemps.

Je marquais une nouvelle pause. D’âpres certaine personne c’étais très stressant toute c’est pause dans mes monologue. Mais je ne le remarquais jamais si on ne me le disait pas, âpres ça dépend des gens.

_ Donc ma première question est : a tu des questions sur ce que je viens de dire ?

J’étais en mode sérieux, je prenais très a cœur mon rôle, j’avais tellement envie d’aider. Je fis cependant un sourire décontracter et mit un peut d’humour dans ma dernière phrase en marquant une pause sur le « est » comme dans les jeux téléviser quand il annonce le grand gagnant, mais en moins certain quand même, faut pas pousser non plus. Fallait peut être aussi que j'arrête avec mes monologues ... je me sens un peut seul là, en espérant qu'elle décide de parler un peut elle aussi.

(J'arrive pas à écrire autant que toi, mais tant pis... )

_ Alors si tu es la c'est pour que je te pause quelque question. Je ne suis pas seulement infirmier a la base je suis scientifique et mon but est de comprendre les dysfonctionnements qu’ils peuvent rencontrer les Als âpres leurs transformassions. Et bien sur de les réglés. C’est dans ce but que je suis moi même devenus une Als il y a de ça un peut plus d'un ans. Les Als sans corps son pour moi les plus compliquer car il peut arriver que des dysfonctionnements proviennes lord de la modification génétique. Dans ces cas là il est bien malheureusement très dur de résoudre le problème car on peut de marge de manœuvre ou d’agissent possible sur l’âme. C’est pour cela que plus c’est prit tôt plus il est simple d’y remédier, même si dans ton cas tu es Al depuis déjà assez longtemps.

C'était donc un AL lui aussi.
Je n'avais pas arrêté de faire semblant de l'ignorer pendant son discours mais il avait fait comme si de rien n'était. Il commençait à m'impressionner un peu. Malheureusement pour lui, ça voulait dire que j'allait encore plus essayer de l'énerver.
Malgré tout, j'avais été très attentive ! Si j'avais bien compris, j'étais un dysfonctionnement et il fallait me régler...
Mais j'étais très bien comme ça, moi ! Cette erreur m'étais d'ailleurs favorable d'après le peu que j'en savais ! Je pouvais faire ce que je voulais, devenir quelqu'un d'autre, limite avoir des super pouvoirs ! Je pouvais étirer mon corps, presque disparaitre, devenir une montagne de muscles ! Et il voulait me "réparer" !!!!??!

_ Donc ma première question est : a tu des questions sur ce que je viens de dire ?

Je relevai les yeux vers les siens toujours braqués sur les miens. Il essayait de détendre l'atmosphère, et moi, j'essayais de faire monter la tension. Une lueur de colère froide passa dans mes yeux. Elle était à 50% vrai et le reste était du chiqué. Mais du chiqué bien fait de sorte que l'on pouvait croire à une colère vraiment intense !

"Vous allez me faire quoi ?"

Ma voix était menaçante. Je m'en voulu pendant quelques secondes de le couper dans son élan d'humour, mais cela me passa rapidement. J'étais lancée. Je voulais absolument le faire sortir un peu de son calme, ne serrai-ce qu'une légère grimace...

[je me suis étonné moi même de tout ce que j'avais marquer ^^ là j'ai fait nettement moins bien]

"Vous allez me faire quoi ?"

Un voile de colère passa dans ces yeux et dans ça voix. Ca vois étais menassente, comme si elle ce méfiais de quelque choses. Et zut, j'avais dit quelque choses de travers, elle avait peut être pas comprit ce que je voulais dire. Je détestais ça quand mon intension était mal comprise. Surtout que la elles étaient bonne je voulais juste aidée ... Il fallait que je me ressaisie si je n’arrivais pas à rester dans mes botte maintenant j'y arriverais jamais aller courage Will ! Arrête d'être timide comme ça, t'avanceras pas si tu continu. Moi qui n’avais pas vraiment l'habitude de voir du monde je devais arriver à rester d'aplomb lord de ce genre de situassions. J'allais avoir du mal.
Je gardais malgré tout mon sourire je ne voulais pas qu'elle s'aperçoive de mon trouble, mais j'avais marqué une petite pause avant de répondre, elle ce douterais surement de quelque choses. Je m'étais ma voix d'aplomb en espérant que mon mal aise soit passé inaperçus.

_ Rien, si pour vous tout ce passe bien je vous serais d’aucune utilité. Le faite d’être transformer pause des fois des dérèglements physiques qui peuvent être grave. En temps que Incorporel ces dérèglement son très dur a gérer.

Autre petite pause, en espèrent que cette fois elle avait comprit.

_ Donc ma seconde question est : Est-ce que tout vas bien ? Avez-vous des problèmes récurent quel qu’il soit, migraine, mot de ventre, etc. ? Problème bien sur incongru du faite que vous été Incorporel.

Mon sourire redevint complètement naturel. Je voulais la rassurer. J’ai scientifique, mais pas exactement du même bord de ceux qui créé les Als. Moi je voulais aidée ces personnes, je voulais pouvoir comprendre comme fonctionnais leur corps après tout ces modifications.

(Rester dans tes bottes ? O.O jamais entendu cette expression !)

Il sembla quelque peu désorienté par ma froideur et fis une légère pose. Je sentis qu'il essayait de se ressaisir. Je souris intérieurement de cette réussite tout en me demandant combien de temps j'allais continuer à l'embêter. Puis, il me répondis d'une voix assurée :

_ Rien, si pour vous tout ce passe bien je vous serais d’aucune utilité. Le faite d’être transformer pause des fois des dérèglements physiques qui peuvent être grave. En temps que Incorporel ces dérèglement son très dur a gérer.

Des dérèglements physiques ? Pour des incorporels ? Je ne pu m'empêcher d'ouvrir des yeux ronds. C'était possible, ça ? Peut-être qu'il disait ça juste pour m'amadouer... Je restai un brin méfiante.

_ Donc ma seconde question est : Est-ce que tout vas bien ? Avez-vous des problèmes récurent quel qu’il soit, migraine, mot de ventre, etc. ? Problème bien sur incongru du faite que vous été Incorporel.

"Et bien... J'imagine que vous connaissez la réponse, non ?"

Je fis une petite pause.

"Non. Je ne souffre pas physiquement."

Par contre, une série de questions se pressèrent sur mes lèvres. Je réfléchi un instant. Pour une fois, j'étais vulnérable, pas cachée sous une couche de faux sentiments. Je pris ma forme préférée sans m'en rendre compte. William se retrouva donc devant une petite souris blanche pendant quelques secondes. Je tentai un vain couinement, ayant oublié que mon palais de souris n'étais absolument pas fait pour pratiqué le sport du blablatage. Et finis par reprendre ma forme humaine.

"Est-ce que j'aurai la possibilité de mourir, un jour ? Est-ce que je ne suis pas déjà morte ? Vous vous rendez compte, que si je veux, je peux être un homme ? Avoir un physique de 110 ans, de 4 ans ? Je suis qui moi ? Je ne suis même pas une femme ! Je n'ai aucune chance d'avoir une vrai relation amoureuse ! Et vous imaginez, quand j'aurai réellement 110 ans ? Si je prends une forme de bébé ! C'est atroce ! Voila, tu l'as ton "sénile nourrisson", Mallarmé !! Je peux même changer mes empreintes digitales si je veux ! Ma voix en fonction des cordes vocales... Je n'aurais jamais à me faire de teinture de ma vie !"

Mes cheveux virèrent au rose bonbon et commencèrent à grandir, grandir... Il touchèrent bientôt le sol et ne s'arrêtaient toujours pas.
Tout s'embrouillait, ma voix restait plutôt calme de débit mais grimpait imperceptiblement dans les aigus (imperceptiblement : qui ne se perçoit pas, compris ?). Mon visage était inexpressif. Signe d'une grande détresse profonde. Il avait intérêt à avoir fait des études de psy, sinon, il pourrait à peine capter à quel point c'était la tempête dans mon corps.

"Est-ce que j'aurai la possibilité de mourir, un jour ? Est-ce que je ne suis pas déjà morte ? Vous vous rendez compte, que si je veux, je peux être un homme ? Avoir un physique de 110 ans, de 4 ans ? Je suis qui moi ? Je ne suis même pas une femme ! Je n'ai aucune chance d'avoir une vraie relation amoureuse ! Et vous imaginez, quand j'aurai réellement 110 ans ? Si je prends une forme de bébé ! C'est atroce ! Voila, tu l'as ton "sénile nourrisson", Mallarmé !! Je peux même changer mes empreintes digitales si je veux ! Ma voix en fonction des cordes vocales... Je n'aurais jamais à me faire de teinture de ma vie !"

La pauvre était entrains de faire une crise de nerf. Je ne savais pas quoi faire. J'étais médecin pas psychologue je ne savais pas comme je pouvais réagir. Que lui dire ? Il n'avait pas pensé a ça les scientifique du centre, au retomber psychologique que pouvais avoir leur fichus expérience. Bien sur que non, ils s'en foutaient bien de ce qui pouvais ce passer après t'en que leur expérience marchais c'étais le principal. Sauf que les Sans-corps sont la preuve vivante que leur technologie est loin d'être au point. Il devrait s'abstenir de transformer les gens dans ces conditions. On ne peut pas transformer n'importe qui n'importe comment. Mais ça il l'on pas encore comprit. L'un de facteur de réussi le plus importent, celons moi, ces le consentement, la prise de conscience et l'envie de la personne concerner. Il faut absolument que la personne soit en état pour que cela marche. Du moins c'est ce que je pense, d'après ce que j'ai vus. Plus les personne sont ignorantes de ce qui leur arrive plus ça foire. Personnellement pour moi ça c'est bien passer et je pense que c'est grâce a ça, car j'étais prés, et je le voulais. Mais bon cela ils n'ont pas encore voulut l'assimiler. J'espère qu'un jour ils le feront. J'espère surtout que j'ai raison ... cela simplifierais tellement de choses.

Revenons à notre pauvre Zoé. Je vais essayer de lui répondre question pas question. Première ment d'une manière scientifique. J'inspirais un grand coup avant de prendre la parole.

_ Pour commencer oui vous pouvez mourir, votre corps non vus que lui est déjà mort mais votre esprit et votre âme son encore en vie et eux ils peuvent être détruit.

Le reste des questions était de l'ordre philologique. J'essayais de me détendre et de perdre ce masque de scientifique endurcie qui ma colle trop souvent a la peau. C'est donc d'une vois calme et chaude que je dis.

_ Votre corps mort et votre identité physique a disparus avec lui, cela on ne peut pas le nier. Mais ce qui reste aujourd'hui est le plus importent, l'essence même de votre aitre. Votre âme et votre esprit. C'est ça votre vrais personnalité, c'est eux qui dicte ce que vous êtes. Si vous porter l'apparence d'une femme avec aisance c'est que vous en été une. L'identité de quelqu'un ce n'est pas inscrit dans ces gène mais dans son esprit dans ça façon d'être.
J'ai connus des Sans-corps qui vivais parmi nous comme si de rien étais. Ils avaient réussi à passer le cap du physique. Leur seul différence avec les humais c'étais leur incapacité à avoir des enfants et de tomber gravement malade. Mais pour tout le reste, quel qu'il soit il avait réussi à vivre comme tout le monde. J'ai conscience, même si je ne peux pas dire que je sais, que cela est dur. Mais c'est votre vie est si dure soit t'elle, vous pouvez en faire ce que bon vous semble. A vous de voir.

Je marquais une pause.

_ Dernière choses, si je suis venu dans cet institut c'est pour aider les gens qui y habitent. Je n'ais pas la prétention de vouloir soigner et corriger tout le monde. Mais au moins aider. Ca serait déjà un bon départ.
Donc si vous avez besoin d'aide, mais si ce n'est pas de d'ordre médical, je ne suis pas qu'infirmer, demander moi.

Et voila j'ai encore pondu un discoure, ce n'est pas possible je suis irrécupérable.

Ce mec devait avoir une mémoire incroyable. Il avait répondu à mes questions une par une. Enfin, c'est vrai qu'elles se ressemblaient un peu toutes.

_ Pour commencer oui vous pouvez mourir, votre corps non vus que lui est déjà mort mais votre esprit et votre âme son encore en vie et eux ils peuvent être détruit.

Il marqua une légère pose. Donc oui, je mourrai un jour. La réponse me provoqua un sentiment étrange. Ça me rassurait, mais ma vie me parue soudain beaucoup plus courte. Il fallait donc que j'en profite !

_Votre corps mort et votre identité physique a disparus avec lui, cela on ne peut pas le nier. Mais ce qui reste aujourd'hui est le plus importent, l'essence même de votre aitre. Votre âme et votre esprit. C'est ça votre vrais personnalité, c'est eux qui dicte ce que vous êtes. Si vous porter l'apparence d'une femme avec aisance c'est que vous en été une. L'identité de quelqu'un ce n'est pas inscrit dans ces gène mais dans son esprit dans ça façon d'être.
J'ai connus des Sans-corps qui vivais parmi nous comme si de rien étais. Ils avaient réussi à passer le cap du physique. Leur seul différence avec les humais c'étais leur incapacité à avoir des enfants et de tomber gravement malade. Mais pour tout le reste, quel qu'il soit il avait réussi à vivre comme tout le monde. J'ai conscience, même si je ne peux pas dire que je sais, que cela est dur. Mais c'est votre vie est si dure soit t'elle, vous pouvez en faire ce que bon vous semble. A vous de voir.

J'étais un peu abasourdie par ce qu'il venait de débiter. Mes cheveux étaient redevenus normaux et j'étais très attentive.
Et il continuait...

_ Dernière choses, si je suis venu dans cet institut c'est pour aider les gens qui y habitent. Je n'ais pas la prétention de vouloir soigner et corriger tout le monde. Mais au moins aider. Ca serait déjà un bon départ.
Donc si vous avez besoin d'aide, mais si ce n'est pas de d'ordre médical, je ne suis pas qu'infirmer, demander moi.

Pour contrer ce qu'il venait de me débiter ("Si vous porter l'apparence d'une femme avec aisance c'est que vous en été une.") et m'amuser un peu, je pris la forme d'un garçon de quatre ou cinq ans et une voix d'homme mur. Je me tenais avec aisance dans ce corps et ma voix était parfaitement contrôlée.

"Comment est-ce que je peut mourir ?"

Je fis mine d'avoir des envies, comment dire ? Suicidaires. Et de n'avoir écouté que son discours sur la mort. Rien d'autre. Il avait l'air mal à l'aise sur ce point et j'avais eu le temps de reprendre toute ma confiance en moi pendant son discours.
La question était, malgré tout, intéressée. Ça pouvait toujours servir. Pour se défendre surtout, en fait.

» Visite médicale... c'est vraiment obligatoire ? non parce que j'ai vraiment pas envie.
» Du papier pour y coucher son âme ll William
» Bla bla bla bla bla ll William S.
» William S. ll Fini !
» /!\ Vous entrez dans mon univers... attention où vous mettez les pieds /!\