Administratif
► Nom : Black
► Prénom d'utilisation : Emmy
► Nom & prénom d'origine : Emil’Yanne Black’Mor
► Date de naissance & âge : 19/11/1986 23 ans
► Famille : Une mère : Marie Black’Mor (nom de jeune fille : "Fon’dévent") 30 ans a ça disparition. Un père Tomm’Yanne Black’Mor 35 ans a ça disparition.
► Rôle : Prof des matières scientifiques.
Personnalité et personnage
► Caractéristiques :
Dédoublé et Faucheuse
► Apparence physique et vestimentaire :
D’un point de vus taille je suis relativement dans la moyenne du moins je crois, 1m70 pour une fille c’est la moyenne ? Non ?
J’ai les cheveux blancs pas le blanc terne est jaune comme les petit vielle, ils sont blanc comme neige un peut comme si il avait gelé. Ils sont coupé court en degradé, et effiler. J’ai les yeux bleu très claire presque gris acier je dois avouer que j’en suis assez fière, ba quoi ce n’est pas une tare de s’aimer ne sera-ce qu’un peut. J’ai la peut très claire voir même blanche, ça vient de mon coter à moitie albinos (ce qui explique la couleur des cheveux).
Toujours habiller avec des couleurs claire et plutôt joyeuse, qui ce voie de loin, pour le haut. Haut qui sont souvent des chemisiers. Mais avec des couleurs plus sombres en bas. Je porte le plus souvent des pantalons, souvent un peut large. J’aime être alaise dans mes mouvements.
► Caractère, qualités et défauts, passions :
• Caractère :
J’ai un caractère que l’on peut, je pense, qualifier de bien trempé ou survolté. Après c’est a vous de juger.
Un petit conseille brancher moi a une central électrique vous aurais de l’énergie pour a peut prés 3 décennie. Il y a beaucoup de gens disent que je suis une folle dingue, c’est peut être parce que j’ai que j’ai tendance a beaucoup m'agiter et à faire une multitude de grand geste inconsidéré. Peut être aussi parce que j'ai toujours l’air heureuse quelque soit l'heure, même si ce n’est pas forcement le cas et je dois avouer que j’ai une certaine faciliter a cacher c’est sentiment quand j’en suis besoin.
J’ai pour habitude de ne pas juger sur les préjuger ou les apparences, c’est pour ça que l’on me retrouve souvent à traîner avec des gens ... disons bizarre et considéré comme peut fréquentable. J’ai surtout tendance à m’attacher a ceux qui on toute les qualités sauf attachant, sans est presque d’espèrent part moment. Le pire c’est que je ne le fait pas exprès. C’est peut être tout ces coter bizarre qui fond dire a William que j’ai un coter mystérieuse, peut être que c'est ce sourire que j'aime tant lancer au gens et qui signifie tout et rien à la fois qui m'est propre.
On peut aussi me qualifier de bille en tête, de tête de mule, de curieuse et de grande gueule.
Pour le rester ça seras a vous de juger.
• Qualités :
Heuuuu ... gentille voir trop. Quelqu’un en qui on peut avoir confiance.
• Défauts :
Maman veux pas tout taper ... Je suis : Chiante quand je mi met. Bille en tête. Un gros mulet de base. Sur exciter. Fouteuse de merde. Brillante, quoi que je peux être discrète si le besoin sens fait ressentir, quand je suis trop dans la merde part exemple ou quand ma trop grade curiosité ma jouer des tours. Emmerdeuse de première (si je vous ais dans le pif).
Bon je crois que j’ais fait le tour ... ba vous en trouverais bien encore un ou deux à rajouter.
• J'aime :
○ Rire et sourire autant au gens qui m'entoure cas la vie, mais aussi a mes ennemie, parce que ça a la fâcheuse tendance à les énerver et que j'aime beaucoup énerver ces genre de relation.
○ Courir comme une dérater dans un champ en pente et fleuri. Pourquoi ? Je n’en ai pas la moindre idée. C'est peut être me croûter et débarouler jusqu'à la fin du champ qui m'amuse.
○ Tirer la langue et faire des grimace, ça c'est mon coter 2 ans d'âge mental j'y peux rien je n’arrive pas a luter. C'est peut être parce que j'ai l'impression d'avoir loupé mon enfance, inconsciemment j'essaye de me rattraper.
○ M'asseoir au bord d’une falaise, les yeux plonger dans le précipice. Surtout lord des coucher de soleil. Et aussi quand la mère et très agiter, le seul problème c'est que a ce moment bien souvent on est en plaine tempête et que part contre je n’aime pas vraiment me retrouver sous la pluie.
○ Me battre surtout contre des gros frimeurs et matcho qui croit que c'est perce que je suis une fille que je ne pourrais pas me défendre. En faite c'est plutôt leur mettre une bonne racler qui m amuse, même si mes arriver plusieurs fois de mange bon, mais bon j'y peux rien je fonce et je réfléchie après.
○ J'aime ma lame ... pas très féminin mais je ne le suis pas vraiment. C'est pour moi un moyen d'identification c'est grâce à son maniement que je j'ai plus me faire une place parmi les autre, autant au centre que avec Will'.
○ Mangerrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !!!!!!!! Bon d'accord je suis un Morfal Opitec, j'y peux rien je suis née comme ça. C'est aussi à cause de mes problèmes génétiques. Ba oui ça demande beaucoup d'énergie la cicatrisation et la régénération cellulaire ^-^
○ L’infirmerie !!!! Même si on ne peut pas vraiment dire que j'aime ça. C'est plutôt que vus des que j'ai un petit bobo je mis retrouve a cous sur ... On va plutôt dire que je suis abonnée.
• Je n’aime pas :
○ Me prendre la tête, surtout pour des choses qui n'ont aucune importance. Il y a tellement de gens que ce stress pour pas grand choses. Peut être que je suis de nature trop zen et décontracte, c'est vrais que je dois paraître un peut "je m'en foutiste" mais bon je le suis pas du tout. Je déteste m'énerver, parce que quand ça arrive je vire à l'hystérie.
○ Les con, frimeur qui pense que le monde ce résume a leur petit nombril. Ces gens là me mette hors de moi, j'ai une envie de leur mettre mon point dans la gueule mais a un point ...
○ Les haricots verts me demander pas pourquoi ... je trouve ça tout simplement dégoutent autant par le gout que par la forme. C’est espèce de verre de terre vert je ne trouve pas ça vraiment apetissent.
• Passions :
○ La nuit et ses étoile.
○ Rêver. Ça été pendant bien longtemps ma seul échappatoire, ce qui me permettais de rester encore un peut une enfant. Ca m'a surtout permis d'ignorer le centre et mon enfermement, permet de ne pas devenir folle.
○ le moto, surtout la vitesse a moto.
Histoire
Mon histoire, vous voulez que je vous la raconte ? Vous savez je me rends compte que je ne sais pas grand choses de ma vie, que pendent pratique ment tout la première partie de mon histoire j’ai été manipulé de A à Z, et je ne croyais pas si bien dire.
Aujourd’hui je suis planter devant cette immense portail, prête à entrer et je dois vous raconter ce que je ne sais pas, je trouve ça ironique. Alors je vais m’atteler a vous dire ce que je sais pour le reste je laisse la parole a celui qui sais tout. Dieu ???? Heu pas sur.
On ma charger de compter une partie de cette histoire, alors allons y. J’espère que vous êtes bien assis ça risque d’être long et peut être même ennuyeux.
Tout commence il à plus de 23 ans, quelque mois avant la naissance de la jeune fille. Ça mère et son père étaient des gens ambitieux ils travaillaient dans la recherche, plus précisément sur la recherche des capacités de régénération du corps humain. Ils faisaient beaucoup de conférence et assistais a beaucoup de réunion, c’est ainsi que de fil en aiguille ils ont fait connaissance d’un groupe de chercheur dont le but était de créé une nouvelle race. Marie fut très intéresser elle pensait que c’est gens pouvais beaucoup les aider dans leur recherche. Luck lui étais bien plus retissent il trouvait ces gens bizarre il était hors de leur temps, un peut a coter de la plaque comme il disait souvent. Mais malheureusement Marie ce laissas entraîner ..., trop loin au goût de son marie, ils pratiquèrent une série de test sur la jeune femme. Des tests qui n’arrivèrent jamais à bout. Quand elle apprit qu’elle était en sainte Marie arrêtas tout ... mais c’étais trop tard.
Trois ans passèrent les chercheurs apprirent que Marie avais eu une fille et réalisèrent vite que cette petite étais surement porteuse du gène qu’ils avaient voulut créer, a la place de ça mère, vus que les tests avais êtes effectuer pendants la gestation.
Quelque moi plus tard Emmy arrivas dans un centre d’accueil car ses parent avais malheureusement disparus dans des circonstances plus que douteuse. Ce qu’elle ne sus pas c’était que elle aussi avait été enlevé, pour les connaissances de la famille, les trois Black’Mor avais disparut le 31 aout 1990. Mais quand ces étaient venus la chercher on c’était fait passer pour des gens de l’état. Elle fut rebaptiser Emmy Black car Emil’Yanne Black’Mor c’était bien trop reconnaissable. Elle commença donne une nouvelle vie dans ce centre qui étais somme toute tout sauf accueillant.
C’est donc la que je reprends le fil du récit car c’est a peut prés à partir de ce moment la que je retrouve des souvenir. J’avais donc 3 ans ½ quand j’arrivais dans ce soit disent centre d’accueil, je n’y est jamais vraiment crus. Ce qui me faisait penser ça ? Une fois part semaine une infermière m’examinais et me faisait une prise de sang, ainsi cas tout les autres pensionnaires, ce rituelle ne cessas que lord de mon départ. J’avais plus l’impression d’être un sujet d’expérience à certain moment. Autant ils nous traiter comme des anges descendu du ciel, des être précieux autant certain nous traiter comme des chien des être mauvais et répugnent. Et puis je n’ais jamais trouver ce centre accueillant ...
Je ne comprenais pas pourquoi il était comme ça en vers nous, car j’étais loin d’être seul.
En faite on était toute une petite communauté à vivre tous ensemble. On c’étais créé une hiérarchie, on vivait hors du temps comme si les chercheur et les infirmières n’étais pas la, on était dans notre monde, il fallait bien ça sinon on serait devenus fous a être isoler comme ça.
Il avait quelque activité, dont un maitre d’arts martiaux. Je me suis donc mit à apprendre le maniement du sabre, et j’aimais ça. J’aimais le coter philosophique de cette apprentissage.
Cet homme lu pouvait sortir car il n’était ni chercheur ni sujet. Pour mes 10 ans, a ma demande, il était allé m’acheter une arme descente, je lui avais donnée en gage deux ou trois petite astuce pour ce faire respecter du reste des habitent, info qui valais de l’or et que je révélais que pour très peut de choses.
J’avais appris part moi-même comme entrer dans le cercle de ces grand gaillard qui constituaient le haut de notre « hiérarchie ». Ils jouaient les dur mais se sont en faite des gens géniaux, il faut juste savoir leur montrer qu’on vaut quelque choses, et pour moi c’étais ma grande gueule et mon extraordinaire génie à foutre la merde là ou je passais qui leur a taper dans l’œil. Je sais se ne sont pas de grande qualité mais visiblement ça leurs a plut.
Plusieurs années passèrent comme ça je suivais mon rythme de vie plus que tranquille, voir même monotone ou plutôt emmerdente quand on y réfléchit bien. Les gars étais cool on s’amusait bien, mais je commençais a sérieusement étouffer. Je crois même que je devenais folle, du moins c’étais ce que je pensais. Deux vois ce distinguais pas fois dans ma tête. Ce phénomène s’intensifia peut a peut, jusqu'à ce jour :
C’étais il a environ 8 ans mais je me souviens comme si j’y étais comme si cette instant avais était graver dans ma mémoire a tout jamais. Il était tard, environs 23h30 mais pourtant je n’arrivais pas à dormir, ce n’étais pas la fatigue car j’étais fatiguer très fatiguer. Je n’arrivais pas à dormir car j’avais peur, peur de ce qui allais ce passé. En milieu d’après-midi le directeur m’avait convoqué pour me dire que demain on ferait une nouvelle série de test des tests différent cette fois. Il allait me faire un scanaire et plain d’autre tuc comme ça, c’étais pas les tests en eu même qui me faisait peur mais plutôt ce que cas impliquais.
Je me disais que c’étais la fatigue et cette peur qui provoquais tout ça, que c’étais a cause d’elle que j’entendais une fois de plus ces vois dans ma tête encore et encore. J’avais la sombre impression de mètre diviser en deux et de m’égueuler avec moi-même. Mais cette fois c’étais plus fort que d’habitude. Une partie de moi voulait partir avant que ça dégénère et l’autre ne voulait pas partir car il serait plus dangereux de tenter de s’évader que de rester. Les deux vois ce faisais de plus en plus fortes et je n’étais plus que spectateur de moi-même mon âme c’est déchirer en deux et mon esprit les observes ... impuissant.
A un moment j’eu l’impression que ma tête allais exploser et c’est la que tout a dérapé, que j’ai commencé a ne plus rien comprendre. Quelque chose est sortie de moi, un tigre fantomatique. Les vois dans ma tête avais sessé, ou plutôt une des deux vois étais sortie de ma tête. Je restais impuissante complètement figer et désarçonner. C’est alors que le tigre c’est mis à me parler.
_ Il faut partir dit-il
_ Non c’est trop dangereux ni pence même pas.
_ Mais réfléchis en fin si il me voit tu es sur d’être réellement en danger !
_ Alors cache toi
Un bruit retentie dans le couloir ma porte s’ouvrit avec fracas. Une infirmière entra, elle avait une seringue à la main surement du sédatif.
J’eu encore plus peur je voulus faire un pas en avant pour la repousser, mais ce ne fus pas moi qui bougeais mais le tigre. Il sauta sur l’infirmière et la traversas telle un fantôme. Ma peur étais a son apogée j’étais totalement terroriser.
_ Vien !!!!!!!!!!!!! Crias le tigre
Je n’arrivais pas à bouger, trop terroriser pour fait quoi que ce soit. L’infirmière s’approchas pour me piquer je lui attrapais le bras et elle recula comme terroriser, elle avait l’air aussi tétaniser pas la peur que moi.
_ Aller vient c’est le moment !
Je regardais a gauche puis a droit je m’affolais un peut. Pour elle réagissait comme ça ? C’étais moi qui devais être terrorisé pas elle.
_ Bouge toi !
Sens réfléchir je prenais mon sac dans le quel étais déjà disposer mes affaire, j’et ais toujours prête à partir, mon manteau et surtout mon sabre qui étais emballer dans un étui en tissu en plus du fourreau.
_ Chui prête dit-je
Le tigre passas la tête part la porte pour vérifier qu’il y avait personne.
_ Suit moi dit-il
Je le suivie il courait dans les couloirs comme si il connaissait l’endroit part cœur, comme si il avait habitais là.
_ On peut passer part la grille d’aération du troisième couloir sur la gauche. Lui-dis-je
_ Je sais. Me répondit-il
Comme il pouvait savoir c’étais moi qui avais déverrouille le cadenas et j’étais sur que personne le savais.
Je ne dis plus rien a partie de ce moment je concentrais a courir et m’attendais à entendre des infirmières débouler de partout pour m’arrêter et ça ne pris pas beaucoup de temps. La plus part restais scotcher part l’apparition du tigre et d’autre ne paraissent pas du tout surprise et ni faisais pas gaffe. On arrivait enfin a la grille je débouchais l’entrer.
_ Il est temps de partir. Dit le tigre
Il me fonça dessus et disparus et j’eu enfin l’impression d’être moi complètement moi, mon courage étais revenus et je sautais et me retrouvais dehors.
Fin première partie et non ce n’est pas fini.
Mais la suite na pas grand interais, je suis partie dans ma lancer et puis vous avez temps insisté pour que je vous raconte donc je raconte tout (du moins presque).
Il ce passas quelque semaine ou je ne fis que marcher et marcher encore de long en large pour trouver un endroit où je pourrais me poser tranquillement quelque temps.
C’étais le début de l’hiver quand j’arrivais dans un village ou presque une petite ville, en faite j’en savais rien tout ce que je savais c’est qu’il y a du monde et que je trouverais bien quelque choses à faire.
Je vous passe les détailles des mes rencontre fastidieuses et des regards en coin suspicieux et pas très accueillant. Au bout de quelque jour de vadrouille j’ai trouvé un veille dame qui a bien voulus m’héberger quelque temps en échange je lui faisais les courses et l’aider à tenir la maison elle était considérer comme l’original du village parce qu’elle était différente parce qu’elle aimer trop vivre parce qu’entre autre elle avait continué à sourire âpres la mort de son marie. C’est sûrement pour ça qu’on est retrouver toute les deux parce que toute les deux on nous regardait de travers, on était différentes du moule que la société avais créé pour nous.
Mais il eu un problème. Elle n’avait pas de famille et donc les services d’aide au personne âgé (aide mon cul, d’emmerde oui, hum bref désoler) voulus la placer dans une maison de retraite cas personne ne pouvais l’aider. Alors elle leur dit que j’étais là pour l’aider, et donc a ce moment la ce fut la Dass qui vain fait chier son mode vus que moi j’étais de manière officiel orpheline. Après mainte négociation (et hurlement de ma part qui disais qu’il n’était qu’une bande de con) ils acceptèrent qu’on habite ensemble a la condition que j’aille a l’école et que Violette devais subvenir a nos besoin. C’est deux condition fus alors remplie et on put vivre toute les deux. C était vraiment une personne drôle et gentille mais a aucune condition je n’acceptai de raconter mon histoire, de toute façon appart que j’avais vus un fantôme je ne voyais pas quoi lui dire d’autre car je ne savais pas grand-chose d’autre. Puis elle ne m’aurait pas crus. Qui croit au fantôme, même moi je n’y crois pas vraiment même âpres ce que j’ai vus. Plus le temps passe plus je pense avoir halluciné.
La vis continua et au bout d’un an je réussi à comprendre comme le monde marchais et a m’habiter a l’école au autre et a tout ça, même si je restais un peut solitaire au début. Les gens de la ville finir eu aussi à s’habituer a moi, même si il me prenait toujours pour une original un peut folle il était gentil au fond.
Je suis allé au dojo de la ville (car âpres info c’étais bien une ville petit ville mais vile quand même ^^) pour aller m’entrainer je ne voulais surtout pas perdre la main et les quelque geste que je pratiquais dans ma chambre n’étais pas suffisent. Je voulais aussi voir si je pouvais m’inscrire a un cours, ça pouvais surement m’aider à m’intégrer. J’arrivais donc je me m’étais en habit de combats, un plastron en cuire des protège en cuir aussi au niveau des bras, des jambes et enfin des gantelets. J’avais une sorte de short assez serer (pas trop non plus). Je commençais à m’entrainer seul car ... j’étais seul (elle est con ma phrase). Il ce passas environ ¼ heure comme ça puis j’entendis des gens arriver. C’était un homme avec un groupe d’ado. Je ne faisais comme si il n’était pas la et continuais. Au bout d’un court moment l’homme m’interpelas en disent qu’il y avait un cours et je devais partir. Je lui ai demandé si je pouvais y assister. Il refusa d’après lui c’étais un cours d’un niveau plutôt élever et il n’avait pas le temps de m’apprendre ce que les autre savais déjà. J’insistais mais il refusa. Je me calais donc dans un coin et attendais. A la fin du cours un des garçons vain me vois.
_ Tu sais te battre. Me dit-il
_ On va dire que je sais me défendre après je n’assure pas que ça soit dans les règle de l’art.
_ On va voir ça alors. Dit il d’un aire quelque peut supérieur.
Il pointa sa l’arme vert moi.
Le combat s’engagea comme ça. Le prof nous regardas avec interais c’étais un de ses meilleur élever qui ce bâtais avec moi. Le face à face duras presque 1/2 heure c’étais pas très long mais suffisent, pour que l’homme m’accepte finalement dans le cours.
_ En effet c’est tout sauf dans les règles de l’art. Je ne supporte pas qu’on massacre cette art alors je vais t’apprendre. Tu a interais à bosser. Me dit-il d’une voit très autoritaire.
Et il partie, le jeune homme étais encore en train ranger c’est affaire tout comme moi d’ailleurs.
_ Je crois qu’il t’aime bien Dit ce dernier avec un grand sourire.
Je crois que le faite de lui avoir réussi lui avais plus. Je m’étais fait un nouvel ami, enfin. Il s’appel William mais je l’appelle toujours Will’.
Depuis ce jour la je suis allé au dojo deux fois part semaine, une fois pour le cours et une autre fois avec Will’ pour nous entrainer. Avec Will’ on est devenus très proche comme des jumeaux.
8 ans passèrent comme ça, jusqu’au jour ou Violette mourus, elle était veille et malheureusement malade quand elle ma recueillie je devais mi attendre mais pourtant cela m’envahir d’une tristesse immense. Je me sentais perdu alors que j’avais trouvé un endroit que je commençais à avoir une vie un vrais tout s’écroulais je perdais tout. Je m’exilais je voulais rester seul reste seul avais ma tristesse et c’est vois qui revenais dans ma tête mais je ne les écoutais pas a quoi bon. Mais un jour le tigre revain. Il ce planta la sans rien dire sans rien faire. Il passa 2 jours comme ça. Jusqu'à l’arriver d’un homme qui sans rien dire m’emmenas j’étais tellement lymphatique que je le suivais, sans même dire au revoir a Will’.
Maintenant je suis devant ce grand portail j’essaye de tout oublier, de me vider totalement l'esprit. Je ne veux plus penser a rien, j’en ai même plus la force.
Je crois que j'ais envie de pleurer, mais je ne suis pas sur. Je n'arrive même plus à discerner ce que je ressens. Tout ce mélange en moi rien n'est plus a ça place, j'ai la fâcheuse impression qu'un tremblement de terre a eu lieu et que toute mes penser qui étais ranger sur les étagères ce sont retrouver au sol dans un bordel innommable. J’ai beau chercher je ne comprends plus rien.
Une larme finie par débarouler le long de mon visage. Je la laisse couler. Alors elle ce détache doucement de ma joue pour aller s'écraser au sol.
Je fais un pas en avant pour poser cet immense portail, j'entre enfin. Une page est tournée une nouvelle apparait totalement vierge. A moi d'écrire cette nouvelle vie.
C'est maintenant que tout commence ...
HRP
► Présence sur le forum : Je pence passer presque tout les jours, au moins le temps de répondre a un ou deux topiques.
► Avatar : Rien de spécial. J’ai pas de perso fixe je n’arrive pas a en trouver, donc je ne changerais pas d’avatar.
Si le regard est le reflet de l’Âme, regarder moi bien peut être que vous me comprendrez ► Autre :
Ces déficience physique (presque albinos et hémophile) est une conséquence directe avec les modifications génétique de sa mère qui fut alors porteuse de gène défectueux (qui lui a été transmis).
► Sabre : pour vous faire une idée :
Sam 26 Juin - 16:47